Why Some Video Game Fonts Are Better Than Others. What makes video game fonts look good? And why does Final Fantasy VI’s Steam and i. OS text feel so amateurish? Today on Kotaku Splitscreen, we’ve got an expert typographer to give us the answers. First, Kirk and I talk Mario + Rabbids before jumping into news like. L. A. Noire Switch (1. Apple announcements (2. Pewdiepie’s racial slurs (3. ![]() If you prefer to download them, right now, you can check out our new BMV DOWNLOAD AREA for Hypnosis. Then Bethany Heck, a design director at Vox Media and typographer, hops on the show (4. Kirk and I close things out with a brief chat about getting ready to run the Destiny 2 raid blindly (1: 0. You can get the MP3 right here.)So what makes Final Fantasy VI’s font look so awful on Steam and i. OS? “Some of it’s technology,” Heck said. One of the reason that older versions of games feel nicer in terms of typography is that there’s lower pixel density, they’re using pixel fonts. Create your free blog with Blogger. Your blog is whatever you want it to be. FAMILLY, FAMILLY hd porn, FAMILLY free sex, FAMILLY porn watch, FAMILLY xxx video, FAMILLY porn tube. ![]() So everything’s having to be through this filter of it has the same resolution, and you’re having to either choose existing pixel fonts or draw new pixel fonts that fit within those constraints. In those cases, the limitations actually serve the art.”For remakes, Heck said, the original typefaces would look out of place. So the developers of a remake like Final Fantasy VI might have to make decisions based on a lot of factors, including the fact that some phones might not support fancier- looking fonts. You end up in a lot of cases with somebody just throwing in Helvetica or Arial or some very basic alternative, just because there’s a lot of new questions that arise or work that would have to be fun to make those replacements,” Heck said. For more, listen to this week’s episode. As always, you can find Splitscreen on Apple Podcasts and Google Play. Reach us at splitscreen@kotaku. Livre numérique — Wikipédia. Un livre numérique (terme officiellement recommandé en France dans le JORF du 4 avril 2. Il peut également être lu en ligne. Selon la loi française (LOI n° 2. Michael Hart créait en 1. Gutenberg, dont le but est de numériser une grande quantité de livres afin de créer une bibliothèque en ligne libre d'accès[4]. La volonté de Hart était de créer une nouvelle modalité de distribution (et éventuellement, de lecture) autrement que par papier. C'est ainsi qu'est apparu le premier document numérisé par le projet Gutenberg : la Déclaration d'indépendance des États- Unis dans un fichier de 5 ko[5], qui a d'ailleurs été publié un 4 juillet, jour de la fête nationale américaine. Toutefois, comme la communauté n'a pas encore majoritairement un accès à Internet, le projet avance lentement, mais à partir des années 1. Internet et le projet va alors bon train et fête même son dixième livre numérisé avec The King James Bible en 1. Ailleurs, la société Franklin réussit à mettre sur pied en 1. Pendant qu'il fêtait son centième livre numérisé en 1. William Shakespeare[7], Michael Hart était presque le seul à se démarquer dans le livre numérique à l'époque, la dernière décennie du vingtième siècle est le moment ou d'autres personnes commencent à se joindre au projet numérique du livre. En effet, en janvier 1. John Mark Ockerbloom crée le Online Books Page. Contrairement à Hart qui publiait des livres sur la plateforme numérique, ce projet a pour but de répertorier uniquement des textes numériques anglophones déjà publiés, de manière à offrir un point d'accès commun à tous pour la lecture numérique. Apparition d'Amazon. Dans la même année, au début d'avril 1. Pierre François Gagnon[8] fonde à Montréal Éditel (editel. Cylibris, première maison d'édition numérique francophone fondée par Olivier Gainon qui publie les livres numériques et imprimés sur Internet[6]. Le Mobipocket est fondé. Ce logiciel de lecture « se spécialise d’emblée dans la lecture et la distribution sécurisée de livres pour assistant personnel.»[6]. Gemstar ebook qui devient la première tablette de lecture numérique officielle. Adobe Flash Player lance son premier logiciel gratuit qui permet une lecture numérique d'un fichier. La même année débute le concept du mail- roman francophone qui consiste à publier, un chapitre à la fois, un roman par l'intermédiaire de courriels[6]. Aussi, Cybook devient la première tablette de lecture européenne à être lancée. C'est aussi l'année où le premier smartphone est créée : les téléphones portables sont aussi des formats permettant la lecture numérique. La compagnie Sony produit sa propre tablette de lecture ou reader. Ceci marque le début de la popularisation des tablettes lectorielles numériques (ou "liseuses")[6]. Open Content Alliance est créé par l'Internet Archive et Yahoo dans le but d'être en mesure de lire n'importe quel texte disponible sur n'importe quel moteur de recherche[6]. Google livres: Alors que Google avait échoué avec Google Print en 2. Google Books qui permet de lire des livres en ligne, de consulter les métadonnées (date de publication, auteur, éditeur, page consultée..) et d'effectuer des recherches dans le corps du texte.[6]2. Lancement d'Amazon Kindle, qui permet à Amazon de se spécialiser dans la lecture numérique alors qu'elle se concentrait seulement sur l'édition numérique en général. Dans la foulée, Amazon lance également sa propre liseuse, le Kindle. En France apparaît 'publie. François Bon, ardent militant du livre numérique. Publie. net pousse les ressources du format e. Pub. 3 jusqu’à ajouter du son et de la musique ou des vidéos[9] dans le cours du récit, et un système de navigation en hyperimages (pour l’instant uniquement accessibles sur i. Pad et i. Phone).À partir de 2. En 2. 01. 0, la progression en termes de parts de marché devient très significative aux États- Unis[1. De nombreux éditeurs commencent à distribuer, sous forme électronique, des livres tombés dans le domaine public. Au même moment, pour une question de coûts et de rentabilité, certains éditeurs préfèrent publier leurs auteurs de cette manière. Différences de réception entre le livre numérique et le livre papier[modifier | modifier le code]Avant que ne commence la production de livres numériques, il a toujours été question de livres en tant qu'objet matériel tel qu'il est défini sur la page Wikipédia Livre. C'est ainsi que lorsque sont parus les premiers livres numériques, une certaine partie du lectorat mondial a d'abord eu un mouvement de recul par rapport au fait d'avoir un texte en format numérique et non en format papier. Même le pionnier Michael Hart a éprouvé des doutes quant à l'aboutissement de son projet: "Nous considérons le texte électronique comme un nouveau médium, sans véritable relation avec le papier. Le seul point commun est que nous diffusons les mêmes œuvres, mais je ne vois pas comment le papier peut concurrencer le texte électronique une fois que les gens y sont habitués, particulièrement dans les établissements d’enseignement"[1. La question de l'habitude est donc primordiale lors de l'apparition sur le marché les premiers livres numériques : les lecteurs ne sont pas encore conditionnés à ce nouveau format de lecture. En effet, bien que le contenu reste le même, cela "ne signifie pas pour autant qu’il faut banaliser le livre numérique ; en effet, ce dernier se distingue de son acolyte en papier et demande ainsi une redéfinition de ses étapes de production"[1. La réception est aussi intrinsèquement liée à l'accès au web des lecteurs. Ainsi, la création du web en 1. Un deuxième essor du livre numérique arrive une décennie plus tard, avec la généralisation du web et l'amélioration de la qualité des livres numériques. L’expression « livre numérique » et ses synonymes « livre électronique » et « livrel » (mot- valise) ont été proposés par l’Office québécois de la langue française[2] comme traductions françaises des termes anglais « e- book », « electronic book » ou « digital book » (voir le Grand dictionnaire terminologique). Selon l’OQLF, la forme hybride « e- livre » (calque de l’anglais « e- book ») est à éviter en français. Dans l'usage courant, les termes « livre électronique » et « livrel » désignent aussi bien le contenu (le texte lui- même) que, par métonymie, le contenant (le support permettant de visualiser le contenu). Ces deux expressions sont donc aussi synonymes de « liseuse ». Cet usage est toutefois fautif puisque, comme sa définition l'indique, le livre numérique est un fichier numérique et non l'appareil électronique qui permet de le consulter. Si contenu et contenant sont souvent interchangés, il ne faut également pas confondre le livre numérique avec son format (e. Pub, mobipocket ou autre). Il existe dans les faits plusieurs types de livres numériques. Fabrice Marcoux en relève trois dominants: homothétique, enrichi et "originairement numérique"[1. C'est la "transposition à l’identique d’un livre papier en version numérique". Il s'agit de la forme la plus répandue et de la première à être apparue. Ce type de livre vient compléter la version imprimée grâce aux avantages que permettent le format numérique, tant au niveau de la forme que du contenu. On pense notamment aux hyperliens. Ainsi, par les possibilités d'enrichissement quasi infinies de l'œuvre qu'il admet, il est de plus en plus exploité. Marcoux écrit qu'il s'agit du livre "créé par ou pour le numérique", c'est- à- dire qu'il a été pensé en fonction du format numérique et de ses potentialités techniques. Pour cette raison, il possède une forte hypertextualité, mais il est plus récent et moins commun que les précédents. Trois qualités ont été identifiées par Marin Dacos et Pierre Mounier : lisibilité, maniabilité et citabilité[1. Le livre numérique doit être lisible. Cela suppose : qu’il soit décrit par un format ouvert, par opposition au format propriétaire (ou formats fermés)qu’il soit fluide et recomposable (reflowable)qu’il soit pérenne. Le livre numérique doit être manipulable, pour cela il faut que l'on puisse l'indexer et le rechercher. Plus on crée de livres applications, plus il est difficile de les indexer et de créer des outils d’indexation. Le texte doit également être copiable et collable, afin d’être rapidement inséré dans un autre contexte (procédure du copier- coller). Enfin, le texte doit aussi être annotable et inscriptible (annotations, remarques, jalons, etc.) dans des dispositifs ouverts. Le livre doit être citable et ce, de façon simple.
0 Comments
Leave a Reply. |
Details
AuthorWrite something about yourself. No need to be fancy, just an overview. ArchivesCategories |